Je suis
- Aurélie
- Que se cache-t-il dans cette boîte à surprises ? Une vraie gémeau. Aucun mot ne peut la décrire vraiment. Soif de vivre. Fascinée par la nouveauté. Cherche le changement continuellement. Curieuse à ses heures. Carbure aux défis. Déteste la routine. Un cœur d’enfant. Ouverture d’esprit. Vit l’instant présent. Célèbre la vie. Une année d’inconnu. De désir. De découvertes. De rencontres. De rêves. De liberté.
lundi 31 août 2009
enfin des nouvelles!!!
Ok, je tiens à m excuser pour 2 choses:
1- Le $ù^£§ de clavier!!! les lettres ne sont pas placées aux mêmes places et je rush pour ecrire!!! )
2- je n écris pas beaucoup ( c.est parce que je n.ai pas acces a internet dans l.auberge) mais j.ecris quand meme des messages sur mon ordi et un jour je vais tous les publier et watch out il va en avoir!! Je vous prépare quelques bonnes aventures croustillantes! Soyez au rendez-vous parce que ca s.en vient!!!
Sinon, pour ceux qui s.inquiètent vraiment :) , nous allons bien! On a quitté l espagne aujourd.hui et on est à Montpellier dans une auberge de jeunesse. Promis les photos et les anecdotes arrivent ( une particulierement interessante! Mick tu vas être content hahaha!! tu dois t.en douter!)
samedi 29 août 2009
deuxieme coup de coeur!
mardi 25 août 2009
Barcelone jour 1
Aurélie, Audrey et Barcelona!
Les beautés de Biarritz
samedi 22 août 2009
Le paradis, c'est ici!
Oui, nous avons trouvé le paradis. Pour ceux qui ne savent pas il est où, c’est à Biarritz.
Nous avons quitté Paris sans peine. Je veux dire sans tristesse. Enfin, nous pourrons respirer dans notre chambre. Paris fut une belle aventure, mais assez stressante. On pourrait dire qu’elle est divertissante, mais bon. Je crois que ma tête et mon corps n’étaient pas prêts à subir cette ville.
Prendre le TGV est une activité en soi. Non seulement, on est confortable, mais les paysages sont vraiment magnifiques. Après 5h de trajet, nous sommes arrivées dans la petite ville de Biarritz. Bon, on capote. On arrête pas de dire : On es-tu ben ici ?!! C’est pas comme Paris !
C’est hallucinant comme c’est beau !!!!! L’océan Atlantique nous a livré tout un spectacle à notre arrivée. Des vagues et des surfeurs. Wow !! Il y en a partout !!!! (je parle des vagues ici, bien entendu… !!!) Du soleil, des gens sympathiques et vraiment relax. Ici, c’est la vraie vie. Que demandez de plus ? Ah oui, une chambre d’hôtel incroyable à 5 minutes à pied de la plage !
On profite de l’instant présent. On se sent en vacances enfin. Vive Biarritz ! Vive la plage ! Vive la vie !
Encore des photos!
Spécial photos!!!
On va en rire plus tard!
Avant de partir un ami m’a donné une carte sur laquelle il est écrit de sa main : On va en rire plus tard ! C’est le meilleur conseil que je me suis fait donné. (Bon, à part les : amuse-toi, sois prudente et profite-en !)
Je l’ai collé dans mon journal de voyage en première page et honnêtement, il m’a été d’un grand recours !
Notre dernière journée à Paris a été interminable. Vous connaissez l’histoire du cimetière. C’est juste que cette aventure était la goutte qui a fait déborder le verre. Il y a des journées comme ça, où tu aurais dû rester coucher.
Justement, on s’est levé trop tard, on a manqué le déjeuner gratuit, on a cherché un café Internet (question de faire une pierre deux coups : manger et aller sur Internet). Ça existe pas on dirait les cafés Internet sans fil ici. On a fini par trouver un café et on est allées sur Internet après dans un truc payant. On a cherché des hôtels pour Biarritz pendant 1h. Tout était complet. On a fini par en trouver un. Enfin !
Bref, on a passé la journée à chercher. Chercher un hôtel. Chercher un magasin de cellulaire. Chercher une pharmacie. Chercher un café Internet. Chercher l’endroit pour acheter les billets de TGV. Chercher un endroit pour faire des photos pour une carte-rabais, Chercher le cimetière. Chercher Sara Bernhard (grande comédienne française) dans le cimetière sans jamais la trouver. Chercher un resto pour dîner. Chercher une épicerie pour le souper. Chercher à s’amuser.
Au moins, on a trouvé. Tout, tout, sauf Sara Bernhard. (Audrey, tu vas t’en remettre !)
Oh oui, on en rit maintenant. Pour de vrai.
Comment rester pogner dans un cimetière ? (Histoire vécue)
Vous devez vous rendre au cimetière Père Lachaise à 17h sans savoir qu’il ferme ses portes à 18h. (L’endroit où sont exposés les Édith Piaf, Jim Morrisson, Molière, Chopin, etc.)
Vous décidez de ne pas acheter de carte du cimetière parce que vous pensez que vous pouvez trouver les célébrités sans aide. Après 5 minutes, vous allez vous acheter une carte parce que c’est trop grand. Le vendeur ne vous dit jamais que le cimetière ferme dans une heure. Vous admirez le cimetière. Prenez des milliers de photos. Rencontrez deux québécoises en chemin et vous vous donnez rendez-vous à Barcelone. Vous voyez la tombe de Chopin, Molière et tous les autres. Vous vous rendez compte qu’il ne reste plus personne dans le cimetière, mais vous ne faites pas de cas avec ça. Qui peut bien embarrer deux jeunes filles dans un cimetière ???
Après 2h de visite, vous décidez de quitter le cimetière. Mais, voyons, la porte est barrée ? Vous voyez qu’il a une autre sortie plus loin. Vous marchez pendant plusieurs minutes interminables. Barrée aussi. Vous voyez une plaque sur la porte : Après la fermeture, les visiteurs «pognés dans le #%$% ?& de cimetière» (c’est mon histoire, donc je dis ce que je veux !), vous devez vous rendre à la porte 18 rue du Repos. À l’autre bout du cimetière. Vous essayez de ne pas être fâchée, mais il y en a une qui panique. (c’est une petite blonde). Vous vous rendez à la porte supposément ouverte pour les retardataires. Barrée aussi.
Vous vous mettez à crier : Y’a quelqu’un % ?&* ???? Finalement, la chance vous sourit et vous voyez une maison dans le cimetière (qu’est-ce que ça fait là?) et vous entendez des gens parler au deuxième étage (la fenêtre est ouverte). Vous criez encore. Et là, un monsieur sort sa tête et vous dit que le cimetière est fermé depuis 2 heures déjà! Il vous débarre la porte et vous sortez du cimetière en courant. Vous tombez dans une gang qui mange de la soupe populaire et qui font peur. Voulant passer une belle soirée au bord de la Seine à boire du vin pour la dernière soirée à Paris, au comble du désespoir, vous décidez d’aller vous cachez dans votre dortoir.
Fin de l’histoire de fou. Moi, c’est fini les cimetières. Je veux plus y aller. (Mais celui-là vaut quand même le détour.)